
Activités 1er semestre 2007-
Kevin Yu - Les nymphéas 2 février – 3 mars 2007
Galerie Lélia Mordoch Que se passe-t-il lorsqu'on veut réconcilier art géométrique et abstraction lyrique ? Qu'attendre d'un artiste qui faisant fi des frontières, mêle la liberté du geste et la rigueur mathématique ? Peut-on peindre en se réclamant à la fois de Pollock et de Mondrian ? Pour toute réponse, Kevin Yu s'invente une œuvre où sur le filigrane d'une peinture gestuelle se greffent les fragments d'un autre monde, carrés photographiques, fenêtres du futur ouvertes sur un passé fuyant où la mémoire se dissout dans l'espace fulgurant de l'instant. (Lélia Mordoch)
Michel Potage 9 mars – 14 avril 2007
Michel Potage est né dans l’atelier : inlassablement son œuvre s’y construit, se cherche et se poursuit. De séries en séries, l’artiste peint des objets quotidiens installés dans un espace visiblement défini, dont la présence est fortifiée par la matière épaisse de sa peinture. Pour cette nouvelle série, Michel Potage met en scène des objets d’avant le geste de peindre, comme les chassis, les pots, les pinceaux, les palettes ou les clefs de chassis servant à tendre la toile. En regard de ses dernières œuvres, Michel Potage présentera une série initiée en 2001, toujours sur le thème des chassis, sur lequel il revient en peinture.
Garcia Rossi, LeParc, Morellet Vasarely, Yvaral 29 mars – 2 avril 2007
Pour cette 9 ème édition d’ArtParis, la galerie Lélia Mordoch présentera des œuvres historiques des artistes du Groupe de Recherche d’Arts Visuels, ainsi que quelques pièces de Victor Vasarely. Aux côtés d’un tableau de néons de François Morellet et d’œuvres cinétiques de Julio Le Parc, une chambre noire accueillera les boîtes à lumière instable (1962/1965) d’Horacio Garcia Rossi
Patrick Hugues 20 avril – 26 mai 2007
Patrick Hugues, né en 1939 à Birmingham, produit des œuvres dont l’étrange mobilité est rendue par les lignes de fuite de la perspective. Empruntant à l’histoire de l’art ou reprenant des éléments architecturaux, ses compositions picturales procurent un vertige lié à la troisième dimension, donnant l’impression que chaque tableau suit le mouvement du spectateur
Emmanuel Fillot 1 er juin – 13 juillet
Semblant défier les éléments, les sculptures d’Emmanuel Fillot sont constituées d’objets naturels qui flottent dans l’espace. Avec la série des constellations, l’artiste fait se répondre pierres et plumes, fichées de part et d’autre sur une plaque de plexiglas, prêtant ainsi à ces galets marins une incroyable dimension aérienne.
Galerie Lélia Mordoch 50 rue Mazarine 75006 Paris | 01 53 10 88 52 | lelia.mordoch.galerie@wanadoo.fr www.galerieleliamordoch.com|
La galerie est ouverte du mardi au samedi de 13h à 19h